Un Amour qui ne finit pas !

Une comédie de André Roussin
Revisitée et mise en scène par Bernard Bitan

Avec Sophie Rachel Attal, David Cohen, Julia Bellaïche, Jean-Claude Komar et Bernard Bitan

Un amour qui ne se finit pas

Le thème : un amour imaginaire

Jean, lassé de ses amours qui s’éteignent, se met en quête de l’amour idéal et imagine un plan pour trouver … Un amour qui ne finit pas !

Pour cela, et de façon passionnelle et compulsive, il décide d’aimer, unilatéralement, une inconnue (Juliette) sans en attendre le moindre retour de sa part: un amour en sens unique donc, juste pour lui et uniquement par correspondance.

Rentrer en amour comme on entre en religion, voilà ce qu’a décidé ce quinquagénaire volubile pourtant marié. Germaine, sa femme est habituée à ses tromperies, ses excentricités et surtout à ses enfantillages.

Sauf que, les choses ne se passent pas comme prévu, et cette lubie de Jean, n’est pas du tout du goût du mari de Juliette (Roger), ni de sa propre femme (Germaine).

Cette situation va inéluctablement créer quelques complications croustillantes et pimentées, et poser le problème de cet amour épistolaire même s’il est aussi courtois que virtuel.

En écrivant cette pièce dans les années 60, jamais André Roussin n’aurait pu imaginer la modernité de ce sujet à l’ère des réseaux sociaux ou les sentiments puis la recherche d’amour et d’adrénaline passent par l’écrit.

Revisité par Bernard Bitan, « Un amour qui ne finit pas » est une comédie «vaudevillesque », à la fois très drôle, mais aussi particulièrement profonde et émouvante, qui ne laissera pas indifférent tant le sujet est encore et toujours aussi brulant…

Parce qu’au fait… Est-ce que « Facebooker » c’est tromper ?!?

L'équipe

André Roussin, surnommé « le boulevardier romantique », fut d’abord journaliste puis comédien avant de monter sa première pièce, avec Micheline Presle, en 1941, « Am Stram Gram ». Il connait le succès avec « La Petite Hutte », puis « Nina », avec Elvire Popesco… Une œuvre abondante, traduite dans le monde entier et jouée par les plus grands comédiens. Une langue raffinée, un propos comique, gai; mais sous figure de comédie, il y a, chez Roussin, une satire plus ou moins indulgente de la bourgeoisie et de la

famille. Il sera élu à l’Académie Française. Il était également président de la Société des Auteurs.

Bernard Bitan

Bernard Bitan sortira primé du Conservatoire National d’Art Dramatique. Formé par des maîtres tels que Alain Souchère ou encore Suzanne Flon, c’est par le théâtre classique qu’il commence en interprétant des rôles dans les répertoires de Molière, Marivaux, Beaumarchais, Corneille à Paris et dans de nombreux festivals en France, et jouera du Courteline, Prévert, Feydeau, Queneau…

En 1994, il co-écrit, produit et fait la mise en scène du Musical à succès : « Le Sel et le Miel » qui tournera plusieurs années et sera joué plus de 300 fois dans les plus grands théâtres parisiens et français (Casino de Paris, Gymnase, Olympia…) au Grand Théâtre de Genève et au Cirque Royal de Bruxelles.

En 1999, Il adapte et met en scène Mégalopolis de Herbert Pagani avec Francis Lalanne, et enchaîne plusieurs productions dont Salt and Honey, la version américaine du Musical Le Sel et le Miel (NYC, Philadelphie, LA) mais aussi la version concert en 2008 à Jérusalem pour être l’un des spectacles officiels des 60 ans de l’Etat d’Israël mis en scène par Doron Medalie avec le violoniste Didier Lockwood, Dudu Fisher, ou encore le chorégraphe Ido Tadmor et 120 artistes sur scène.

Il produit l’adaptation en français de Avenue Q (meilleur Musical de Broadway) avec Bruno Gaccio à Bobino en 2012.

Plus récemment sur scène en Israël en tant qu’acteur dans « Le Prénom » d’Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte mis en scène par Elie Chouraqui qui deviendra son acolyte et le mettra également en scène dans « Miroirs » au Théâtre Cameri, une pièce dont il est l’auteur. Il jouera dans le Violon de mon père de Benny Boret au Musée de Tel Aviv aux côtés de Gilbert Montagné, de l’orchestre symphonique de Jérusalem et de la virtuose Anne Gravoin.

En 2018, il monte « Meafela le Or Gadol » version en hébreu du Musical « Le Sel et le Miel » au City Hall. Dernièrement, ce sera : « L’Héritage d’Ana » de Annick Perez aux côtés d’Elie Chouraqui, Judith Mergui et Johanne Toledano. Il dirigera ensuite Sophie Rachel Attal dans « Maman, mets un sweat et calme-toi ! ».

En 2021 ce sera « Un amour qui ne finit pas » d’André Roussin qu’il met en scène et interprète, pièce qui fera une tournée très remarquée dans tout le pays.

Elie AttalElie Attal est un autodidacte passionné d’art contemporain. Il a travaillé dans le tourisme puis la communication. Il monte en Israël avec sa famille en 2005. Depuis il a déployé différentes activités autour de l’univers de la Culture à Jérusalem puis Tel Aviv. En 2018, il produit « Maman, mets un sweat et calme- toi ! », un spectacle autobiographique écrit et interprété par son épouse Sophie Rachel. Ce fut une expérience inoubliable et la rencontre avec Bernard Bitan, un homme vrai et passionné qui la mettra en scène et participera à ce projet. Une amitié et une vraie complicité et complémentarité s’installe entre les 2 hommes; depuis les projets se multiplient. Il se consacre désormais pleinement à la production d’évènements et de spectacles culturels en Israël.

 

Sophie Rachel Attal joue la comédie depuis 35 ans. Sa première scène est son comptoir de pharmacie à Paris. Montée en Israël en 2005, elle crée et anime 2 ans plus tard un atelier de théâtre et de thérapie par le théâtre en Israël. L’année suivante, elle jouera dans une pièce de Yasmina Reza : « Le Dieu du carnage » à Jérusalem. En 2016 elle présente la pièce « Ils s’aiment » de Pierre Palmade et Muriel Robin et jouera une dizaine de représentations à Jérusalem, Tel Aviv, Netanya, Raanana et Ashdod. En 2017 Elle conçoit et présente un spectacle de sketches : « Scènes de Ménages » avec sa troupe semi-professionnelle de l’atelier au Théâtre Habima de Tel Aviv et au Théâtre Khan de Jérusalem. En 2018 Bernard Bitan la met en scène dans « Maman, mets un sweat et calme-toi ! », son texte autobiographique qu’ils présentent à Jérusalem et Tel Aviv (5 représentations).

Julia Bellaïche est passionnée de théâtre et de cinéma depuis sa tendre enfance, c’est sur les planches que Julia aime faire partager au public ses émotions. En Israël elle participe à plusieurs Master Class d’acting et rejoint les troupes théâtrales dirigées par Elisabeth Kedem et Sophie Rachel Attal. Cela la mènera à jouer dans le prestigieux théâtre Habima à Tel Aviv ainsi qu’au théâtre Khan à Jérusalem dans le spectacle « Scènes de ménage » mis en scène par sa professeure Sophie Rachel Attal. A cette occasion, elle se fait remarquer par le metteur en scène Bernard Bitan qui lui proposera d’incarner le rôle de Juliette, pour cette comédie revisitée d’André Roussin.

David Cohen a 40 ans et vit à Jérusalem. Il est l’heureux père de 6 enfants et passionné d’Histoire et de Littérature. Educateur et travailleur social dans l’âme et comédien à ses heures gagnées, il s’est spécialisé dans les spectacles pour enfants et le théâtre de rue. Il rejoint la troupe de Sophie Rachel Attal et jouera dans ses spectacles. Comme pour Julia Bellaïche, Bernard Bitan fera appel à lui pour interpréter Jean.

Jean-Claude Komar est fils unique de parents ashkénazes, rescapés de la Shoah. Né à Lille en 1946, il y grandit et obtient son diplôme de la faculté de chirurgie dentaire. 40 ans d’exercice de son métier, il sera parallèlement président de la communauté juive de sa ville pendant 18 ans. Il vit en Israël depuis six ans accompagné de sa famille. « J’ai toujours pensé que les dentistes sont de grands comédiens », se plait-il à dire ! C’est donc tout naturellement qu’il intègre le cours de Sophie Rachel Attal. Il y rencontre Bernard Bitan qu’il connaissait pour l’avoir invité en 1996 à présenter « le Sel et le Miel » à Lille. Comble de bonheur, ce dernier lui propose de rejoindre le casting de la pièce.

Dates des représentations

  • Jérusalem les 26 octobre 2021 au Théâtre de Jérusalem (460 places).
  • Ashdod le 2 novembre 2021 au Beth Yad Lebanim (400 places)
  • Netanya le 3 novembre 2021 au Théâtre Heichal Hatarbut (620 places)
  • Tel Aviv le 7 Novembre 2021 au Théâtre Suzanne Dellal (380 places)

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